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Alonso en galère à Mexico : La course cauchemardesque d'Aston!

Alonso en galère à Mexico : La course cauchemardesque d'Aston!

Équipe FansBRANDS® |

Le Grand Prix de Mexico City a une fois de plus rappelé à quel point la Formule 1 est imprévisible. Dans ce décor unique, à plus de 2 200 mètres d’altitude, les pilotes et les équipes sont confrontés à des challenges particuliers. Pour l’équipe Aston Martin, cette course n’a pas été de tout repos, entre difficultés techniques et incidents inattendus. Fernando Alonso, vétéran renommé du paddock, et Lance Stroll, jeune loup canadien, ont tous deux vécu une épreuve difficile dans les rues surchauffées de l’Autódromo Hermanos Rodríguez.

Dès les essais, la tâche s’annonçait ardue. Les températures élevées et la raréfaction de l’oxygène en altitude jouent continuellement des tours aux ingénieurs qui doivent ajuster les réglages des monoplaces. Alonso et Stroll n’ont pas échappé à cette réalité : manque d’adhérence, réglages aérodynamiques complexes et pneus sensibles aux variations restent les maîtres-mots du week-end. Malgré son immense expérience, Alonso a reconnu après la course qu’il avait eu du mal à trouver le bon rythme, tant la monoplace semblait imprévisible dans ces conditions extrêmes.

La course, coupée par un drapeau rouge après un violent accident de Kevin Magnussen, n’a rien fait pour arranger les affaires de l’équipe britannique. Obligés de repartir depuis la voie des stands pour certains, ou de revoir leur stratégie en urgence, les deux pilotes verts n’ont jamais été en mesure de rivaliser avec les voitures de tête. Alonso, qui s’était jusque-là illustré par sa régularité cette saison, a dû composer avec une voiture rétive et des sensations mitigées, notamment dans les virages rapides du dernier secteur.

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Le sort de Lance Stroll n’a guère été plus clément. Englué en fond de grille après un premier relais difficile, il a été l’une des victimes collatérales du chaos. En sortant du virage après le restart, il a été impliqué dans un accrochage qui a mis un terme anticipé à son Grand Prix. Une amère déception pour le Canadien, dont la saison est définitivement semée d’embûches, oscillant entre brillante performance et malchance tenace.

Du côté technique, le directeur de l’écurie Aston Martin a expliqué que les spécificités du circuit de Mexico, alliées à un niveau de grip très faible, ont révélé certaines faiblesses de la monoplace. Malgré des ajustements constants au niveau de la gestion des températures et des réglages de l’aileron arrière, la voiture n’a pas retrouvé la compétitivité affichée plus tôt dans la saison. Il faudra donc étudier minutieusement les données récupérées pour mieux préparer les épreuves restantes.

Plus globalement, cette course illustre la difficulté de garder un haut niveau de performance sur toute une saison de Formule 1. Même les meilleurs ingénieurs et les pilotes les plus chevronnés ne peuvent rien face à la singularité du tracé mexicain. Fernando Alonso, malgré plus de vingt ans dans la discipline, n’a jamais caché son admiration pour les défis si particuliers de ce circuit, mais admet que parfois, il n’y a tout simplement rien d’autre à faire que d’analyser et passer à la course suivante.

Avec la tournée américaine qui touche à sa fin et un calendrier toujours plus intense, les équipes devront rapidement tirer les enseignements de cette manche déconcertante. Si certains fans s’inquiètent pour la suite de la saison d’Aston Martin, il ne fait aucun doute qu’avec un duo de pilotes aussi déterminé et une équipe technique expérimentée, la volonté de rebond sera au rendez-vous dès le prochain Grand Prix.