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Red Bull en crise ? Le choc des meilleurs et pires moments F1 2024 !

Red Bull en crise ? Le choc des meilleurs et pires moments F1 2024 !

Équipe FansBRANDS® |

Bilan à mi-saison 2025 : Red Bull, entre domination et doutes

À l’aube de la trêve estivale, Red Bull Racing demeure sous le feu des projecteurs. Après une saison 2024 presque sans partages, l’écurie autrichienne aborde 2025 avec l’objectif de conforter sa suprématie. Mais le chemin, cette année, s’avère plus sinueux que prévu ! Entre exploits retentissants et désillusions inattendues, retour sur les grands moments – et les couacs – de la première moitié de saison.

Max Verstappen a, comme à son habitude, imprimé un rythme effréné au championnat. Sa capacité à extraire le maximum de la RB21, même dans les conditions les plus difficiles, force le respect. Dès la première course, le Néerlandais a signé une démonstration magistrale, infligeant plusieurs secondes à ses rivaux. Sur les tracés rapides comme Barcelone ou Silverstone, la Red Bull s’est montrée quasi intouchable, preuve que l’ingénierie de Milton Keynes sait encore dompter l’aérodynamique.

L’un des points forts de cette première moitié de saison reste la constance du package Red Bull. Grâce à une bonne gestion des pneus, des stratégies affûtées et un département technique réactif, l’équipe a su limiter les dégâts sur les circuits moins favorables. On pense notamment à Monaco, où Verstappen a su convertir une troisième place sur la grille en un podium précieux.

FansBrands Red Bull Racing

Mais la saison n’a pas été un long fleuve tranquille pour autant. Sergio Perez, coéquipier de Verstappen, connaît des hauts et des bas. Si le Mexicain est capable de flambées éclatantes, certaines qualifications difficiles et quelques entrelacements en course (notamment en Hongrie ou au Canada) posent question sur sa capacité à soutenir la lutte pour le titre constructeurs. Or, face au retour en force de Ferrari et une McLaren plus agressive que jamais, la moindre faiblesse se paie cash.

L’un des tournants de cette demi-saison ? Le Grand Prix d’Autriche. Attendue comme un rendez-vous immanquable à domicile, la Red Bull y a subi la loi d’un rival inattendu. Failles aérodynamiques, gestion délicate des températures ou simple coup du sort ? Quoi qu’il en soit, le paddock a tremblé : la domination sans partage de l’année passée semble fragile, et l’opposition affûte ses armes.

L’autre axe d’inquiétude récurrent concerne la fiabilité. Malgré un package solide, la RB21 n’a pas échappé à quelques pépins techniques, notamment du côté des systèmes hybrides au cœur de la saison asiatique. L’équipe s’active à Milton Keynes pour gommer ces petites imperfections, tout en gardant l’œil sur la pression grandissante exercée par Mercedes, Ferrari et McLaren.

Heureusement, Red Bull peut compter sur un staff technique parmi les plus compétents du plateau, mené d’une main de maître par Christian Horner et le génial Adrian Newey. Le duo maintient une dynamique collective qui donne à l’équipe cet esprit de conquête, même sous la pression. L’évolution du package aérodynamique, annoncée pour la reprise, promet de belles batailles à la rentrée.

Que peut-on attendre de Red Bull pour la suite ? Si Verstappen reste favori pour la couronne mondiale, l’incertitude plane sur la capacité de l’équipe à conserver son leadership chez les constructeurs. Les fans espèrent un second souffle de Perez, tandis que la stratégie technique devra être irréprochable pour résister à la poussée de ses rivaux.

Même si la saison 2025 semble s’annoncer sous les meilleurs auspices pour Red Bull, la concurrence n’a jamais paru aussi proche depuis l’ère hybride. De quoi emballer la fin de saison et offrir aux passionnés le suspense et la dramaturgie qui font la légende de la Formule 1 !