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Hamilton en crise : il juge la Ferrari « inconduisible » !

Hamilton en crise : il juge la Ferrari « inconduisible » !

Équipe FansBRANDS® |

Alors que la saison de Formule 1 progresse, l'attention se tourne vers Lewis Hamilton, récemment intégré chez Ferrari. Malgré l’enthousiasme des tifosi et l’immense talent du septuple champion du monde, les débuts du Britannique avec la Scuderia Ferrari s’avèrent plus complexes que prévu. Lors des récentes courses, Hamilton a exprimé ses difficultés à trouver ses marques dans sa nouvelle monoplace rouge, remettant en question la possibilité réaliste de viser un podium à court terme.

Depuis son arrivée chez Ferrari, Hamilton fait face à une période d’adaptation relativement rare dans sa carrière illustre. La SF-24, bien qu’ayant montré des signes de vitesse dans certaines conditions, semble loin d'être un outil parfaitement adapté au style de pilotage incisif de Hamilton. Lors de divers essais et séances de qualification, il a clairement détaillé ses difficultés à sentir la voiture et à exploiter son plein potentiel. Les réglages aérodynamiques et le comportement au freinage semblent être au centre de ses préoccupations.

Certains observateurs s’attendaient à ce que le duo Hamilton-Ferrari soit instantanément explosif. Pourtant, la réalité du paddock est bien différente. “Je me bats avec la voiture tour après tour,” a confié Hamilton récemment. Un sentiment partagé par nombre de pilotes ayant récemment changé d’écurie, mais exacerbé par les attentes qui entourent chaque nouvelle union entre un champion et Ferrari. Hamilton reste toutefois philosophe, insistant sur l’importance du travail en équipe pour résoudre les défis techniques actuels et sur la nécessité de patience.

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La différence majeure, selon le pilote britannique, réside dans la philosophie de conception de la Ferrari comparée à ce qu’il a connu chez Mercedes durant plus d’une décennie. La position de conduite, la répartition du poids, ou encore la manière dont la voiture interagit avec les pneus, tout change pour Hamilton. Il a souligné à plusieurs reprises qu’il ne se sentait pas “en symbiose” avec la SF-24, un terme fort dans le langage de la F1, où la confiance en la machine est essentielle pour attaquer aux limites.

Les supporters de la Scuderia s'interrogent donc : Hamilton pourra-t-il rapidement inverser la tendance et s’immiscer dans la lutte pour les podiums face aux Red Bull et McLaren, actuellement dominateurs ? Les prochains Grands Prix seront cruciaux. Ferrari, de son côté, poursuit le développement de la monoplace, introduisant régulièrement des mises à jour aérodynamiques. Cependant, il faut souvent du temps pour que pilote et ingénieurs comprennent pleinement chaque élément nouveau – un processus où la communication entre Lewis et ses ingénieurs jouera un rôle clé.

Hamilton, connu pour son travail acharné et sa capacité d’analyse, reste optimiste. Il rappelle qu’il faut du temps pour bâtir une véritable osmose avec une nouvelle équipe et une nouvelle philosophie technique. D’ailleurs, le Britannique n’est pas étranger aux débuts difficiles : son arrivée chez Mercedes en 2013 avait également soulevé des questions, avant d’aboutir à l’une des dynasties les plus dominantes de l’histoire.

Ce début de saison contrasté pour Lewis Hamilton n’est pas uniquement technique. L’impact psychologique de la pression imposée par l’écurie la plus mythique du circuit, associé au désir profond de renouer Ferrari avec la victoire, pèse aussi dans la balance. Toutefois, s’il est bien une chose que la Formule 1 nous a apprise, c’est que rien n’est jamais écrit d’avance et qu’un champion comme Hamilton n’a pas dit son dernier mot. Les tifosi peuvent donc garder espoir : les plus belles pages de l’histoire Ferrari-Hamilton restent peut-être à écrire.