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LE DRAME INATTENDU EN ESSAIS LIBRES À BAKOU : QUI A CHOQUÉ LE PADDOCK ?

LE DRAME INATTENDU EN ESSAIS LIBRES À BAKOU : QUI A CHOQUÉ LE PADDOCK ?

Équipe FansBRANDS® |

Le Grand Prix d’Azerbaïdjan à Bakou marque toujours une étape majeure dans la saison de Formule 1, et la séance d’essais libres 1 de 2025 n’a pas fait exception. Sous un ciel ensoleillé, la tension était palpable alors que les écuries profitaient de chaque minute précieuse pour affiner leurs réglages sur le réputé circuit urbain de Bakou, une piste rapide et technique, exigeant une précision millimétrée des pilotes.

Dès l’ouverture de la séance, l’asphalte azéri a rapidement mis en lumière la diversité des approches stratégiques. Des écuries comme Red Bull et Mercedes ont opté pour de longs relais, collectionnant de précieuses données sur les pneus durs, tandis que Ferrari et McLaren testaient les limites de l’adhérence en pneus tendres, cherchant à maximiser la performance en qualifications. Les premiers tours ont immédiatement montré une forte évolution de la piste, perturbant légèrement la hiérarchie attendue.

Dans ce ballet mécanique, c’est Max Verstappen qui s’est illustré dès les premiers instants, enchaînant des temps de référence tout en montrant une étonnante aisance, malgré le tracé réputé piégeux de Bakou. Charles Leclerc, cherchant à retrouver le chemin de la victoire après quelques courses compliquées, n’a pas tardé à répliquer, poussant sa Ferrari dans ses retranchements. Lando Norris, lui, a profité des récentes évolutions apportées à sa McLaren pour se glisser rapidement dans le groupe de tête. Les écarts, minimes, promettent une lutte serrée tout au long du week-end.

FansBRANDS F1

Du côté des surprises, l’équipe Aston Martin s’est affirmée avec un rythme solide, Fernando Alonso se mêlant brièvement à la conversation des leaders, tandis que Lance Stroll s’est concentré sur l’analyse aérodynamique de sa monoplace, anticipant les subtilités du deuxième secteur particulièrement délicat. Les Français, Pierre Gasly et Esteban Ocon, ont quant à eux rencontré des débuts mitigés, luttant respectivement contre un manque d’équilibre et un freinage capricieux dans les enchaînements rapides.

La fiabilité, toujours cruciale à Bakou, a été mise à l’épreuve. Quelques soucis électroniques pour Williams et une fuite hydraulique sur la RB de Ricciardo ont rappelé que la moindre faiblesse technique peut anéantir toute ambition, surtout sur ce circuit où chaque centimètre compte. Les ingénieurs sont donc restés en alerte maximale, ajustant stratégiquement les configurations en réponse aux premiers enseignements de la piste.

Cette première séance a également permis de tester les nouvelles directives introduites par la FIA concernant les limites de piste et la gestion de la puissance hybride. Plusieurs pilotes, dont Sainz et Albon, ont vu leurs chronos supprimés pour avoir effleuré les vibreurs extérieurs, ce qui a immédiatement suscité des débats au sein du paddock sur la sévérité des contrôles et leur impact sur le spectacle. La réactivité des écuries à ces règles renforcera sûrement la tension lors de la suite du week-end.

Alors que la ville de Bakou s’anime au rythme des moteurs, les fans peuvent s’attendre à un week-end spectaculaire, où la moindre erreur peut être lourde de conséquences et où l’audace, toujours récompensée sur ce circuit unique, fera la différence. Les essais libres 2 s’annoncent déterminants pour peaufiner la hiérarchie, et d’ores et déjà, la promesse d’un Grand Prix d’Azerbaïdjan palpitant plane sur la saison 2025 de Formule 1.