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Ferrari en Péril : Le Secret Derrière l’Échec de Monza 2025 !

Ferrari en Péril : Le Secret Derrière l’Échec de Monza 2025 !

Équipe FansBRANDS® |

Le Grand Prix d’Italie à Monza fut une course attendue avec ferveur par les tifosi et une occasion de célébrer la scuderia Ferrari sur ses terres. Mais derrière l’effervescence des stands rouges, la réalité technique a rappelé la Ferrari à ses défis fondamentaux. Si la SF-24, version 2024 de la monoplace de Maranello, avait jusque-là offert des promesses et des podiums, la manche italienne a mis en lumière certaines limitations qui pourraient devenir un vrai casse-tête dans la conception de la F1 2025.

Monza, temple de la vitesse, est un circuit atypique du calendrier F1. Exigeant en termes de puissance moteur, d’efficacité aérodynamique et de stabilité dans les freinages, l’Autodromo Nazionale ne pardonne pas l’à-peu-près. C’est ici que les failles invisibles ailleurs se révèlent. Ferrari, face à une Red Bull toujours redoutable et des McLaren en embuscade, a mis en évidence certains points faibles de son package actuel – et donc des inquiétudes pour l’an prochain.

Le principal écueil concerne le compromis aérodynamique de la SF-24. Sur un circuit à faible appui comme Monza, Ferrari a dû choisir entre vitesse de pointe et stabilité dans les virages rapides. Or, malgré une configuration aérodynamique spécialement taillée pour la basse traînée, la voiture italienne n’a pas réussi à égaler ses rivales en ligne droite sans sacrifier la confiance de ses pilotes dans les sections sinueuses. La gestion du différentiel, primordial à la sortie des chicanes et dans la Parabolica, s’est aussi montrée hasardeuse comparée à la maîtrise de Red Bull ou Mercedes.

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Les ingénieurs de Maranello doivent affronter une équation délicate. Pour 2025, l’entrée dans une nouvelle phase de développement moteur (en anticipation du grand virage réglementaire de 2026) nécessite de repenser la répartition des masses, la conception des entrées d’air et la philosophie aérodynamique. Or, si la Ferrari se montre compétitive sur des tracés à appui moyen-élevé, dès qu’il faut privilégier la traînée basse, sa fenêtre d’exploitation s’avère étroite. Cela limite les options stratégiques aussi bien en qualification qu’en course – un talon d’Achille quand chaque centième compte contre Red Bull ou McLaren.

À Monza, la dégradation des pneus fut également un point noir. Les longs relais ont révélé que Ferrari peinait à gérer la température du train arrière, causant une usure anticipée et réduisant les possibilités de contre-attaque par la stratégie. De surcroît, l’instabilité constatée sur les bosses en entrée de chicane démontre que la suspension et la gestion du poids restent perfectibles, avec un impact direct sur la performance lors de freinages appuyés.

Ce Grand Prix italien a donc agi comme un révélateur. S’il a confirmé que Ferrari demeure dans la course, la Scuderia ne peut ignorer les fondamentaux techniques à revoir pour 2025. Les brillants tours de Charles Leclerc et Carlos Sainz n’ont pas masqué un manque de constance et une fenêtre de réglage trop étroite. Les prochaines semaines à Maranello seront cruciales pour inverser la tendance : s’appuyer sur ses points forts, résoudre ses faiblesses, et ainsi donner aux tifosi l’espoir légitime d’un retour au sommet.

Les prochaines étapes du championnat seront riches en enseignements pour la conception 2025. L’équipe technique, menée par Fred Vasseur, saura-t-elle élargir la marge d’exploitation de la future monoplace ? L’attente est grande, la pression aussi. Mais la passion rouge, elle, ne faiblit jamais.